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...Humbrol
...
L'humbrol est une peinture qui à
la base était destinée à
la peinture de maquettes.
Mais depuis, un certain Bill Horan a mis
cette technique sur l'avant de la scène
par
ses figurines remarquables, et l'humbrol
est devenue une autre technique pour la
peinture de figurines.
Cette technique s'apparente assez avec la
peinture à l'acrylique, si ce n'est
que les solvants sont différents.Quelles
marques ?Humbrol est la plus connue, mais
il existe d'autres peintures de maquettes
comme la Heller,mais elle se fait de plus
en plus rare.........Avantages ?Grande variété
de couleurs prêtes à l'emploi;
séchage rapide. Au contraire de l'acrylique,l'humbrol
permet de faire de petits fondus. ........Inconvénients
?Séchage rapide, odeurs dûes
aux solvants. ...............Quelles quantités
?Les couches fines sont toujours ici de
rigueur! .................Solvants ?Le white
spirit ou de l'essence à briquet.
..................
Palette de base :
Blanc n°34, noir satiné
n°85, terre foncée n°29,
bois naturel n°110, Cuir n°180,
Sable n°63,
kaki n°72, pourpre n°107, écarlate
n°60, bleu n°25, bleu oxford n°104,
jaune désert n°93,
jaune citron n°99, chair n°61.
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....Peinture
acrylique ....
Nouvelle venue dans le monde de la figurine,
elle fait de plus en plus d'adeptes.
Cette technique à commencé
son petit bout de chemin en étant
adpoté par
les peintres de figurines de jeux de rôles,
ensuite par des peintres espagnol et s'est
étendue à tout le monde. Quelles
marques ? Prince August, Citadel, Andréa,
Model color.
Avantages ?La
peinture sèche très vite
( avantage/inconvénient ) ce qui
permet d'appliquer assez rapidement
les couches successives, sous - couche
non nécéssaire, pas d'odeur,
aspect final mat. ...........Inconvénients
?La peinture sèche trop vite pour
effectuer des fondus. Besoin de bien nettoyer
les pinceaux
assez souvent, afin qu'elle ne sèche
pas dans les poils. ...................Quelles
quantités ?Ici s'impose le multicouche
toujours bien dilué dans de l'eau,qui
est de rigueur..................Solvant
?L'eau.......................
Palette de base
:
Blanc, noir, terre,
terre d'ombre, marron, rouge, rouge foncé,
bleu de prusse, jaune, chair, kaki
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.....Pinceaux
.....
Quelles grosseurs employer ?
- En règle générale, on emploie
pour les grandes surfaces un pinceau N°1 voir
un N°2.
Pour les surfaces moyennes un N°0, pour les
petites surfaces un N°00, et pour les tout
petits détails,comme les yeux un N°000.
Ceci n'est qu'une base; vous pouvez facilement
augmenter le nombrede pinceaux et aller du n°2
jusqu'au n° 14 voir plus. Tout cela dépend
aussi de la taille de vos figurines.
Quelles
qualités de poils ?
-
Peintures à l'huile : Petit gris, et poils
de martres ( Assez coûteux à la base,
mais si vous les entretenez bien il feront un
bon bout de chemin avec vous ! ).
Poils de porc pour les pinceaux à tableau.
Les poils de ces pinceaux sont généralement
en forme de flammes et éffilés vers
le bout.Toutefois,
il vous faudra un pinceau avec des poils plats.
Ce pinceau servira pour les dry-Brush ( brossage
à sec ), ou vous servira à tirer
la couleur.
Il vous faudra aussi des pinceaux pour la couche
de fond, ils sont assez larges,
et ceux-ci ne doivent pas être aussi onéreux
que les pinceaux pour la figurine en elle - même
.
-
Peinture Acrylique: Poils synthétiques
( ils sont généralement moins chers
que les pinceaux
destinés à la peinture à
l'huile).
Quelles
marques ?
-
Raphaël, Winsor & Newton ou encore Isabey,
font partie des pinceaux de très bonne
qualité.
Ces pinceaux sont en poils de martre. Vous remarquerez
que les tailles diffèrent d'après
chaque constructeur.
Un 000 de Isabey ne sera pas de la même
taille qu'un 000 de Winsor & Newton,
à vous donc de choisir la marque qui vous
conviendra.
Vous trouverez aussi dans ces marques des pinceaux
à retouches employés par les restaurateurs
de tableaux, ces pinceaux ont des poils très
courts, qui vous serviront pour les détails
minitieux.
Comment
entretenir ses pinceaux ?
Dès
que l'on a fini de peindre, il faut les nettoyer
avec le solvant approprié.
-
Dans le cas de l'acrylique, il faut les laver
directement après emploi, sinon vous risquez
que la couleur s'amasse à la base des poils
et s'agglutine en formant de petits paquets de
peinture sèche, qui au fil du temps, rendront
le pinceau inemployable.
-
Pour L'huile, vous les nettoyez avec de la térébenthine
rectifiée ou autre si vous n'en trouvez
pas.
Vous pouvez aussi les nettoyer avec du white spirit.
Si par hasard vous n'aviez pas suivis ces conseils
( pour la peinture à l'huile ), et que
par malheur de petits paquets de peinture se forment
à la base
des poils, vous pouvez enlever ceci grâce
à du toluène. En les faisant tremper
dans un bocal rempli
de toluène, le pinceau doit être
tenu avec une pince à linge, tout en veillant
à ce que les poils ne
touchent pas le fond. Laissez les pinceaux comme
cela quelques jours, et de temps en temps
frottez-les contre un essuie-tout, ou un chiffon,
pour enlever cette couche au fur et à mesure
.
Comment
entreposer vos pinceaux ?
-
Il faut les entreposer coucher et non dans un
bocal, où ils seraient en position verticale.
Le problème qui se pose quand les pinceaux
sont en position verticale, c'est que les éventuels
résidus de térébenthine vont
se loger dans la virole ( partie chromée
de votre pinceau )
et à la longue, les poils deviennent plus
rigides à la base.
-
Vous pouvez aussi trouvé en magasin un
récipient appelé Pincelier, sur
lequel est monté un ressort.
Dans le récipient on met du solvant, et
les pinceaux sont intercallés entre les
lames du ressort,
en veillant à ce que les poils ne touchent
pas le fond! L'inconvénient de ce procédé,
c'est que les vapeurs d'essence s'évaporent
dans toute la pièce.
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L'aérographe,
outil indispensable dans "l'évolution"
du maquettiste. Malheureusement, cet objet semble compliqué
à manier et nécessite un investissement
plus lourd que les habituels pinceaux. Je vais essayer
dans cette rubrique de dissiper ce brouillard qui règne
autour de l'aérographe et d'en faire non plus
un outil barbare et effrayant, mais ce qu'il est : un
outil formidable et indispensable. Il permet un rendu
de la peinture fin et parfaitement lisse préservant
ainsi tous les détails de la maquette, les rivets,
lignes de structures... L'aérographe permet aussi
de faire des fondus dans un camouflage, des camouflages
tachetés, des traces d'échappement, enfin
des tas d'effets tout simplement impossibles au pinceau.
Principe de fonctionnement - Type d'aérographes
:
C'est le passage de l'air dans le corps de l'aérographe,
débouchant sur une buse qui provoque une dépression
au niveau de l'orifice d'arrivée de peinture.
A la sortie de la buse, on obtient un voile de peinture.
On distingue 2 types d'aérographe : le simple
action et le double action. Alors que le simple ne
permet que de moduler le débit d'air (en appuyant
plus ou moins fort sur le bouton), le double action
permet non seulement de contrôler le débit
d'air, mais aussi le débit de peinture (le
même bouton peut aussi avancer et reculer).
En reculant le bouton, une aiguille recule aussi dégageant
ainsi la buse et laissant passer la peinture. Ceci
permet de faire des travaux plus précis et
plus fin. Le maniement d'un double action n'est pas
très compliqué. Un peu d'entraînement
sur de vieux éléments en plastique et
on s'y fait vite.
Alors lequel prendre ? Pour ma part, j'avais un Aztec
A430 dont j'était très satisfait (double
action). Ensuite, je suis passé au 470 et là,
un peu moins finalement. J'ai fini par passer à
l'Evolution et là... tout est beaucoup plus
facile !
La particularité de l'Aztec c'est que l'aiguille
et la buse ne font qu'un et facilite grandement le
nettoyage et évite l'accident classique de
tordre l'aiguille. L'inconvénient est que le
nettoyage ne peut se faire sur tout l'ensemble et
que de la peinture à tendance à s'accumuler
à des endroits non accessibles et donc... au
bout d'un certain temps, retour garantie : à
noter qu'il est garantie à vie !
L'évolution est lui de conception classique,
une buse se vissant sur le corps de l'aérographe,
une aiguille, on démonte tout pour nettoyer
au besoin mais attention à l'aiguille ! Un
plus agréable, c'est du tout métal et
les seules parties qui craignent des produits agressif
sont démontables. On gros, on peut tout démonter
pour nettoyer sans aucun danger !
Le corps d'une aérographe Aztec avec 3 buses
et le godet à gravité.
Et ici celui d'un Evolution.
Sources d'air :
On trouve 3 sources d'air : les bombes d'air comprimé,
les compresseur dit "à membrane' et enfin
les compresseurs dit "silencieux" à
bain d'huile.
Bombes d'air : si elles sont attirantes au premier
abord, c'est en raison de leur prix bas ; comparées
au prix d'un compresseur, celles-ci sont intéressantes
surtout lorsque l'on a un budget limité ou
que l'on débute. Parlons maintenant des défauts
: le débit d'air n'est pas régulier.
Celui-ci à tendance à diminuer au fur
et à mesure de l'utilisation. De plus, à
long terme, elles sont bien moins rentable financièrement
d'un compresseur.
Compresseurs à membranes : ceux-ci ont un en
général un débit constant. Ils
fonctionnent en permanence et sont sans réserve
d'air. D'abord bruyant, interdisant un fonctionnement
le soir à moins d'habiter seul et pas en appartement
(penser à vos voisins !), les derniers modèles
le sont nettement moins. A l'achat, compter moins
de 600 F.
Compresseurs silencieux : comme le titre le dit ils
sont silencieux, comparable au bruit du moteur d'un
frigo. Vous pouvez le faire fonctionner dans toutes
les circonstances, car cela ne fait vraiment quasiment
aucun bruit ! Vous devez avant le premier fonctionnement
mettre de l'huile (huile spéciale compresseur),
ensuite, il suffit de maintenir le niveau (pour certains,
il est possible de les vidanger). Ce type de compresseur
possède une réserve d'air (de 1 litre
à 9 litres).
Certains modèles fonctionnent en permanence.
Une fois la pression maximum atteinte, le surplus
d'air s'échappe par une soupape de sécurité,
entraînant un sifflement gênant .... dommage
car le moteur ne fait aucun bruit, mais la soupape,
c'est autre chose !
D'autres possède une pressostat permettant
de couper le fonctionnement du moteur une fois la
pression atteinte. La remise en route est aussi automatique
dès que la pression à baissé
en dessous d'un certain seuil. Cela est bien plus
confortable et évite un fonctionnement inutile
pendant un pause, la recherche d'un papier, préparation
d'une peinture....
Enfin, toujours dans les qualités, la pression
de sortie peut se régler. Selon les compresseurs,
vous aller jusqu'à 12 Bars...Heu, je précise
quand même, au delà de 3 Bars, vous risquez
d'endommager votre aérographe... imaginez la
buse de votre aéro plantée dans le fuselage
de votre avion... Passons aux inconvénient,
pas grand chose, si ce n'est le prix. Comptez au minimum
1200 F. Pour l'huile, 70 F le litre, 1 litre pouvant
vous faire une bonne paire d'année (si vous
vidangez), et une bonne dizaine si vous vous contentez
de maintenir le niveau.
Finalement, dans tout ça, que choisir ? Mon
choix c'est fait sur un compresseur silencieux, avec
arrêt automatique, d'une réserve de 1
litre. Je conseille vivement ceci MAIS avec une réserve
de 5 ou 6 litres, évitant ainsi des démarrage
et arrêts trop fréquents (l'arrêt
est un peu bruyant du au pressostat). Pourquoi ce
choix ? Pour la réserve d'air, le silence et
enfin la possibilité de régler la pression.
Vous verrez que régler la pression est essentiel
dans la peinture à l'aérographe.
Compresseur à bain d'huile.
aerographe photo
Peintures - Dilution - Pression :
Là, ça se complique. De la bonne préparation
de la peinture dépend la qualité du
résultat. Mais pas de panique...
Parmi les différents types de peinture (voir
détails dans la rubrique Les peintures dans
Tout sur les maquettes, j'utilise indifferement l'acrylique
et l'enamel. Chose essentielle : à l'aéro;
il faut travailler avec une peinture le plus diluée
possible et la pression la plus basse possible. C'est
à ce prix que vous pourrez faire des travaux
très précis. Plus vous diluez, moins
celle-ci couvrira. Il y aura donc plusieurs couches
à passer. Mais vous verrez que cela vous permet
d'obtenir une surface superbe et une bonne précision.
Diluer oui, mais de comment ? Je dilue l'acrylique
à l'eau déminéralisée,
et l'enamel à l'Essence type F, celle qui sert
aussi comme détachant pour les textiles. A
la sortie du pot, la peinture est en générale
prête pour le pinceau, mais trop épaisse
pour l'aéro. Les peintures brillantes (Gloss)
sont plus épaisses que les mats (Flat). Donc,
pas facile de trouver une règle exacte. Par
expérience, je dilue de 20 à 50 % selon
la peinture, rarement plus, mais cela arrive. Donc,
ne soyez pas inquiet si à 40 % de dilution,
la texture vous parait encore épaisse. N'ayez
crainte, vous êtes dans la norme ! Parfois,
pour faire un effet de voile, on va jusqu'à
80 % ! N'oubliez pas quand même que plus vous
diluez, plus le pouvoir couvrant de votre peinture
diminue.
Voici par rapport aux marques que j'utilise ce que
j'ai constaté.
Humbrol : je ne l'utilise pas à l'aéro,
trop épaisse., et trop de variation d'un pot
à l'autre pour une même couleur. Par
contre, au pinceau, idéale.
Aeromaster : 30 % en moyenne (acrylique et enamel).
Testors : 40 %.
Model masters (mettalizer à polir) : sans dilution.
Je précise bien que c'est une moyenne. Si la
peinture vous semble déjà assez liquide
au départ, allez-y doucement. Par exemple un
jaune d'aeromaster dilué à 20 % l'est
trop (dilué, pas jaune !). Vous verrez, on
s'y fait vite à l'oeil.
Le pression... j'ai souvent travaillé avec
une peinture très diluée et une pression
faible. Je me suis rendu compte récemment,
en lisant notamment le très bon article de
Julien Haccoun qu'on pouvait travaillé sans
complexe à 2 bars. Là dessus, reportez
vous au Wingmaster N°15 et N°28.
Nettoyage :
Etape ultra importante pour la santé de votre
aérographe (et pour celle de votre portefeuille
!). Le nettoyage doit être consciencieux. C'est
souvent plus long que le temps de peindre, mais bon,
on a rien sans rien. Pensez à la prochaine
peinture que vous aurez à faire... un bleu
nuit agrémenté de gris mouette (que
vous veniez d'appliquer sur votre Skyray) sur le fuselage
d'un Corsair peut faire assez comique... mais pas
très réaliste. Au delà de massacrer
un camouflage, il y va de la durée de vie de
votre aéro et de la buse.
Pour procéder au nettoyage, je me munie d'une
bouteille en plastique vide (eau minérale),
sur laquelle je pose une feuille d'essui tout (pliée
en deux pour l'épaisseur). Je plante la tête
de mon aéro dedans et je pulvérise ainsi.
Ceci permet de récupérer le diluant
usagé et évite de respirer le nuage
de diluant. Dans tout les cas, procédez au
nettoyage de l'aéro dans un espace bien aéré
(je le fais sur le bord de ma fenêtre) car vous
allez pulvériser du diluant pur ! Pensez à
vos petits poumons et aux jolies arbres...
Attention : ceci ne concerne que l'Aztec :
Plus sérieusement, le diluant à utiliser
pour le nettoyage : pour l'enamel de l'essence F,
pour de l'acryliqueaeromaster un produit spécifique
type Aztec concentrated Airbrush Cleaner (à
dilué à 50 % avec de l'eau ; pour un
traitement de choc, genre débouchage, utiliser
pur) et enfin pour de la Gunze ou Tamiya, de l'alcool.
Etape 1 : vider l'excédant de peinture dans
le pot ;
Etape 2 : verser un peu de diluant dans le godet et
essuyer avec de l'essui tout (question d'enlever le
plus gros et de pas y passer 2 heures !);
Etape 3 : pulvériser 2 ou 3 godets de diluant;
(je monte la pression à 2 Bars)
Etape 4 : démonter la buse et la laisser tremper
dans le diluant pendant une bonne minute;
Etape 5 : remonter et pulvériser 1/2 godet
de diluant sur de l'essui tout blanc : vérifier
qu'il n'y a plus de traces de peintures, dans le cas
contraire, recommencé l'étape 3 à
5;
Etape 6 : ben c'est tout propre, soit on attaque une
autre couleur, ou alors on range !
Le nettoyage prend une bonne dizaine de minutes. C'est
un peu long et fastidieux, mais il faut le faire systématiquement
(après les travaux de peintures et chaque changement
de couleur biensur..
Aérographe Aztec A430 dans son cofret bois.
Pour mon Evolution, le principe est un peu le même
:
Etape 1 : vider l'excédent de peinture ;
Etape 2 : pulvérisation d'un ou deux godets
d'acétone ;
Etape 3 : démontage de l'aguille et nettoyage.
Pas d'étape 4, car pouvant sans problème
travailler à l'Acétone, ben là,
franchement, c'est déjà tout propre
!!
Il s'agit certes d'un investissement relativement
lourd, comptez au minimum 1300 F pour un compresseur
+ 800 F pour un aérographe valable, mais si
vous n'attaquez pas avec un matériel raisonnable
dès le départ, vous risquer d'être
dessus, à savoir par là, n'économiser
pas sur le compresseur car sans réserve sufisante
et débit réglable, vous ne pourrez exploiter
correctement votre aérographe !
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